Le concours national de la résistance et de la déportation
Son origine
La confédération nationale des combattants volontaires de la résistance a créé en 1958 dans un cadre
associatif le concours afin de perpétuer chez les jeunes français le souvenir des
souffrances et des sacrifices des résistants.
La Fédération Nationale des Déportés et Internés de la Résistance et le Réseau
du Souvenir du Révérend-Père RIQUET l'ont ensuite rejointe pour aboutir en 1961 à la création officielle du concours par Lucien PAYE.
Ses finalités vis-à-vis des jeunes
Transmettre des valeurs qui se rattachent aux droits de l'homme, aux principes de la démocratie,
Susciter un esprit de tolérance, une démarche de solidarité, Préparer à la vie de citoyen,
Acquérir une démarche d'historien, Rapprocher les générations.
Catégories de participation
Elèves des établissements publics, privés sous contrat, établissements d'enseignement agricole, établissements relevant du ministère de la Défense,
établissements français à l'étranger.
1ère catégorie :
Classes de lycée (lycée d'enseignement général et technologique et lycée professionnel).
Dissertation rédigée en classe (3 H 30).
2e catégorie :
Classes de lycée (lycée d'enseignement général et technologique et lycée professionnel).
Réalisation d'un mémoire collectif.
3e catégorie :
Classes de troisième de collège.
Dissertation rédigée en classe (2 H 30).
4e catégorie :
Classes de troisième de collège.
Réalisation d'un mémoire collectif.
Organisation du concours
Le thème général du concours et la date des épreuves (les épreuves se déroulent généralement en mars) choisis en juin pour le concours de l'année
suivante par le jury national font l'objet d'une note de service publiée au BOEN
au début de l'année scolaire.
Les jurys départementaux déterminent les sujets en fonction du thème national. Ils sélectionnent les travaux (un de chaque catégorie) qui seront
examinés par le jury national et les adressent au ministère.
Les délibérations pour la désignation des lauréats ont lieu courant octobre. Le
palmarès est publié en novembre et la remise des prix a lieu en général à l'Institution nationale des Invalides.
La composition du jury national est fixée par arrêté. Afin de pallier
progressivement la disparition des témoins, le jury s'ouvre aux historiens et aux chercheurs. (l'arrêté est paru le 7 février 1997 au Journal Officiel).
La remise des prix
Les élèves lauréats et leurs professeurs sont invités à séjourner à Paris pendant
2 jours. Ils visitent les hautes lieux parisiens de la résistance et de la déportation (Le Mémorial de l'Ile de la Cité) ainsi que les Invalides, le musée
de l'Armée et le musée de l'Ordre de la libération.
Lors de la cérémonie officielle à l'Institution nationale des Invalides, les élèves
sont récompensés. Ils reçoivent des deux ministères, des chèques-Lire, des brochures, un cédérom sur la déportation, une médaille commémorative éditée
par la Monnaie de Paris.
Thèmes choisis par le jury national
1984 - La Libération à partir de juin 1944 et les rôles respectifs des armées
alliées, des FFL et des FFI.
1985 - Quarantième anniversaire de la Libération. Pourquoi la déportation et les camps de concentration ne doivent pas être oubliés. L'importance de ce
souvenir pour le présent et l'avenir.
1986 - Niveau troisième : les diverses formes de la Résistance intérieure (réseau, maquis, mouvements).
Niveau terminale : les droits de l'homme. Valeurs de la Résistance pour les jeunes de 1986.
1987 - Le rôle de la radio dans la Résistance (les progrès de la science et de la
technique peuvent servir au meilleur comme au pire).
1988 - 1ère catégorie : les difficultés et les dangers que durent affronter les
résistants de l'intérieur.
2e et 3e catégories : la Résistance extérieure.
1989 - 1ère, 2e et 3e catégories : en quoi les résistants de la deuxième guerre
mondiale ont-ils repris, réanimé la grande tradition patriotique, démocratique
et civique, léguée aux générations futures par la Révolution française ?
1990 - Le Général de Gaulle, chef de la France libre et de la Résistance.
1991 - La déportation et les camps nazis de concentration.
1992 - Classes de première et de terminale : le conseil national de la
Résistance, sa création, son rôle, son programme pour la France libérée.
Classes de troisième de collège et de LP : les diverses formes de la Résistance
dans votre ville, dans votre région.
1993 - Classes de première et de terminale : pourquoi les résistants ont-ils combattu non seulement contre l'Allemagne nazie puissance occupante, mais
aussi contre le gouvernement de " l'Etat français " du Maréchal Pétain ?
Classes de troisième de collège et de LP : relatez la vie et les actions d'une
personnalité ayant joué un rôle important dans la Résistance intérieure, personnalité choisie soit dans le cadre du département, soit dans le cadre
national (Charles de Gaulle, Jean Moulin, Pierre Brossolette, le Général Delestraint...).
1994 - En 1994, la France célébrera le cinquantième anniversaire de sa libération. Il convient de mesurer les difficultés et les dangers que durent
affronter et surmonter les résistants et d'expliquer les raisons pour lesquelles
ils s'engagèrent comme volontaires dans ce combat.
1995 - Classes de seconde, première et terminale : la libération des camps de concentration et d'extermination nazis par les alliés victorieux en 1945 prouve
qu'une certaine idée de l'homme constituait l'enjeu essentiel du conflit. Montrez
que la résistance, sous toutes ses formes, étaient porteuse de cette valeur. Ce
combat a-t-il encore des résonances aujourd'hui ?
Classes de troisième et lycée professionnel : la capitulation de l'Allemagne nazie en 1945 est une victoire pour la dignité de l'homme. En vous appuyant
sur des documents et des témoignages des membres de la Résistance et de survivants des camps nazis dégagez l'enseignement qu'on peut en tirer.
1996 - Classes de seconde, première et terminale : être jeune dans les années
noires (1940-1945).
Classes de troisième et lycée professionnel : les jeunes dans la Résistance.
1997 - Classes de tous les lycées et classes de 3e de collège : Les femmes
dans la Résistance.
1998 - Classes de tous les lycées et classes de 3ème de collège : Entre les
deux guerres mondiales, la France a largement accueilli des immigrés. Quel rôle ont pu jouer ces étrangers dans la résistance à l'occupant ? Beaucoup
d'entre eux sont morts, pour la France, soit au cours d'actions de résistance, soit dans les camps de déportation.
1999 - Classes de tous les lycées et classes de 3e de collège :
" Des plaques, des stèles, des monuments évoquent le souvenir des actions de résistance et la
mémoire des victimes des persécutions et des répressions de la période de 1940 à 1945. Recherchez et commentez l'histoire de ces femmes, de ces
hommes, de ces enfants ".
2000 - Classes de tous les lycées et classes de 3e de collège :
" L'univers concentrationnaire dans le système nazi. Les camps de concentration et
d'extermination font partie intégrante du système totalitaire nazi. Quelles furent
les causes, le fonctionnement et les conséquences de ce phénomène concentrationnaire
? ".
2001 - Classes de tous les lycées et classes de 3e de collège :
" Née de réactions spontanées et éparses, d'engagements divers, la Résistance française
a évolué suivant des formes multiples et s'est unifiée autour de valeurs communes afin de libérer le territoire. Suivant les ressources dont vous
disposerez localement, vous montrerez comment la France Libre et les Résistants de l'intérieur se sont organisés pour aboutir à la
victoire ".
2002 - Connaissance de la déportation et production littéraire et artistique :
" Recherchez et analysez des témoignages et des documents de différente nature vous permettant d'approfondir vos connaissances sur l'histoire de la
déportation et de la résistance dans les camps de concentration nazis.
En particulier, l'étude des productions littéraires et artistiques réalisées par des
déportés durant ou après leur détention, ou par des non déportés, vous paraît-elle susceptible de contribuer à la transmission de la mémoire de ce qui
constitue un crime contre la personne humaine ? ".
Rapport sur le concours national de la Résistance et de la Déportation
par Jean Gavard, président du jury national - Session 2000-2001
Thème du concours
Le thème du concours a été choisi à l'issue d'une procédure de concertation
mise au point depuis plusieurs années. Au début de l'année civile 2000, les personnalités, associations et fondations membres du jury national ont été
invitées à présenter leurs propositions au président. Le groupe restreint de
pilotage du concours s'est réuni le 2 mai 2000 pour procéder à un arbitrage entre les différents projets reçus. Cette synthèse a été présentée le 14 juin
2000 au jury réuni en session plénière, celui-ci a retenu la formulation suivante
:
Suivant une procédure mise au point depuis plusieurs années, le thème de l'année scolaire 2000-2001 a été arrêté en session plénière par le jury national
après consultation des personnalités et des organismes représentés dans cette
instance. Il était ainsi libellé :
"Née de réactions spontanées et éparses, d'engagements divers, la Résistance
française a évolué suivant des formes multiples et s'est unifiée autour de valeurs communes afin de libérer le territoire. Suivant les ressources dont vous
disposerez localement, vous montrerez comment la France Libre et les résistants de l'intérieur se sont organisés pour aboutir à la victoire".
Ce thème unique s'adressait aux lycéens aussi bien qu'aux collégiens de la classe de 3ème. Les sujets de dissertation devaient être choisis à partir du
thème général par les jurys départementaux : ces sujets sont adaptés aux ressources locales dont le corps enseignant et les élèves peuvent disposer.
Les travaux collectifs se fondent également sur le thème général, mais les recherches sur les témoignages, les archives et les traces locales sont
déterminantes dans les appréciations que portent les membres du jury national sur les travaux qui lui sont soumis par les instances départementales.
Évaluation des résultats
Du point de vue qualitatif, de nombreux travaux de valeur ont été sélectionnés
par les jurys départementaux. Le jury national remarque depuis quelques années le travail accompli par les lycées professionnels qui affirment dans leur
participation au concours leur maîtrise des productions audiovisuelles.
Du point de vue quantitatif quelques chiffres caractéristiques peuvent être retenus.
La participation globale de 36 500 élèves se situent dans la moyenne des dix dernières années, elle est sensiblement égale à celle de 1999.
Le mouvement se poursuit privilégiant les travaux de groupe au détriment des devoirs individuels.
Les travaux collectifs continuent à mobiliser une importante proportion des candidats de 34 à 42 % en six ans dans les collèges, de 38 à 42% dans les
lycées. Cette mutation traduit une évolution des pratiques pédagogiques dans l'enseignement du second degré. Les supports techniques (cassettes, CD Rom)
sont de plus en plus utilisés. Une vingtaine de CD Rom ont été sélectionnés par les jurys départementaux pour être soumis au jury national.
Le taux de participation des établissements au concours est une bonne mesure d'impact.
Sur l'ensemble des établissements métropolitains, 12,4 % des lycées et 17,5 %
des collèges présentent des élèves au concours.
La comparaison entre académies montre toujours d'importantes disparités régionales. Les académies de Montpellier (où le ratio des collèges a
augmenté), de Toulouse, Besançon, Limoges, Dijon et Reims sont nettement au-dessus des moyennes nationales.
Thème du concours 2001 - 2002
Pour choisir le thème du concours 2001-2002, la procédure a été accélérée en
2001 afin de faire connaître plusieurs mois avant la rentrée scolaire le thème
de la prochaine session. La préparation des épreuves doit être ainsi facilitée.
Le jury national a arrêté le 10 avril 2001 le thème suivant :
" Recherchez et analysez des témoignages et des documents de différente nature vous
permettant d'approfondir vos connaissances sur l'histoire de la déportation et de la résistance dans les camps de concentration nazis. En particulier, l'étude
des productions littéraires et artistiques réalisées par des déportés durant ou
après leur détention, ou par des non-déportés, vous paraît-elle susceptible de contribuer à la transmission de la mémoire de ce qui constitue un crime contre
la personne humaine ? "
Perspectives d'avenir
Le rapport relatif à la session 1999 - 2000 s'appuyait sur une étude
approfondie menée à l'initiative de la Fondation de la Résistance, relayée par la
Fondation pour la mémoire de la déportation, auprès des enseignants et des élèves pour évoquer l'avenir du concours. L'une des principales
propositions issues de cette enquête visait la nature des épreuves individuelles proposées
aux candidats. La novation, soutenue par le jury national, a été entérinée par la note de service du 27 juillet 2001 jointe à ce dossier en annexe.
Désormais, les jurys départementaux pourront proposer aux candidats individuels de
1ère et 3e catégories (lycées et collèges) le choix entre deux
types d'épreuves : soit un sujet de dissertation de caractère traditionnel, soit
une étude de documents. Le second type d'épreuve donnera lieu à des questions ciblées sur chacun des documents proposés et se terminera par la
rédaction d'un texte argumenté. Ce genre d'épreuve correspond aux évolutions
pédagogiques mises en œuvre dans l'enseignement du second degré (en particulier pour le brevet des collèges). La pratique des T.P.E. (travaux
personnels encadrés) dans les lycées devrait également favoriser les participations, les thèmes choisis par le jury national faisant de plus en plus
appel à des travaux pluridisciplinaires.
Enfin, la spécificité de l'enseignement dispensé aux élèves des lycées professionnels est reconnue. Les jurys départementaux pourront désigner dans
chacune des deux premières catégories (qui visent les lycées) un lauréat ou un
groupe de lauréats pour chaque forme d'enseignement général et technique ou professionnel.
A court terme, un accroissement du nombre des prix nationaux devrait sanctionner cette évolution. La réforme introduite qui revêt la même
importance que l'introduction des travaux collectifs en 1979 dans les collèges et en 1991 dans les lycées devrait assurer la pérennité du concours.
Le concours national de la résistance et de la déportation
Son origine
La confédération nationale des combattants volontaires de la résistance (actuellement présidée par Jean Rousseau) a crée en 1958 dans un cadre associatif le concours afin de perpétuer chez les jeunes français le souvenir des souffrances et des sacrifices des résistants.
La Fédération Nationale des Déportés et Internés de la Résistance et le Réseau du Souvenir du Révérend-Père RIQUET l’ont ensuite rejointe pour aboutir en 1961 à la création officielle du concours par Lucien PAYE.
Ses finalités vis-à-vis des jeunes
Transmettre des valeurs qui se rattachent aux droits de l’homme, aux principes de la démocratie, Susciter un esprit de tolérance, une démarche de solidarité, Préparer à la vie de citoyen, Acquérir une démarche d’historien, Rapprocher les générations.
Catégories de participationElèves des établissements publics, privés sous contrat, établissements d’enseignement agricole, établissements relevant du ministère de la Défense, établissements français à l’étranger.
1ère catégorie :
Classes de lycée (lycée d’enseignement général et technologique et lycée professionnel).
Dissertation rédigée en classe (3 H 30).2e catégorie :Classes de lycée (lycée d’enseignement général et technologique et lycée professionnel).Réalisation d’un mémoire collectif.3e catégorie :Classes de troisième de collège.Dissertation rédigée en classe (2 H 30).4e catégorie :Classes de troisième de collège.Réalisation d’un mémoire collectif.
Organisation du concours
- Le thème général du concours et la date des épreuves choisis en juin pour le concours de l’année suivante par le jury national font l’objet d’une note de service publiée au BOEN au début de l’année scolaire.
- Les jurys départementaux déterminent les sujets en fonction du thème national. Ils sélectionnent les travaux (un de chaque catégorie) qui seront examinés par le jury national et les adressent au ministère.
- Les délibérations pour la désignation des lauréats ont lieu courant octobre. Le palmarès est publié en novembre et la remise des prix a lieu en général à l’Institution nationale des Invalides.
- La composition du jury national est fixée par arrêté. Afin de pallier progressivement la disparition des témoins, le jury s’ouvre aux historiens et aux chercheurs. (l’arrêté est paru le 7 février 1997 au Journal Officiel).
La remise des prixLes élèves lauréats et leurs professeurs sont invités à séjourner à Paris pendant 2 jours. Ils visitent les hautes lieux parisiens de la résistance et de la déportation (Le Mémorial de l’Ile de la Cité, le Mémorial du Mont Valérien) ainsi que les Invalides, le musée de l’Armée et le musée de l’Ordre de la libération.Lors de la cérémonie officielle à l’Institution nationale des Invalides, les élèves sont récompensés. Ils reçoivent des deux ministères, des livres, des chèques-Lire, un cédérom sur la déportation, une médaille commémorative éditée par la Monnaie de Paris. Ils sont invités par la Direction de la mémoire, du patrimoine et des archives du ministère de la Défense, à un spectacle au théâtre Jean Vilar de Suresnes.
Thèmes choisis par le jury national
1984 La Libération à partir de juin 1944 et les rôles respectifs des armées alliées, des FFL et des FFI. 1985 Quarantième anniversaire de la Libération. Pourquoi la déportation et les camps de concentration ne doivent pas être oubliés. L’importance de ce souvenir pour le présent et l’avenir. 1986 Niveau troisième : les diverses formes de la Résistance intérieure (réseau, maquis, mouvements).Niveau terminale : les droits de l’homme. Valeurs de la Résistance pour les jeunes de 1986.1987 Le rôle de la radio dans la Résistance (les progrès de la science et de la technique peuvent servir au meilleur comme au pire). 1988 1ère catégorie : les difficultés et les dangers que durent affronter les résistants de l’intérieur.2e et 3e catégories : la Résistance extérieure.1989 1ère, 2e et 3e catégories : en quoi les résistants de la deuxième guerre mondiale ont-ils repris, réanimé la grande tradition patriotique, démocratique et civique, léguée aux générations futures par la Révolution française ? 1990 Le Général de Gaulle, chef de la France libre et de la Résistance. 1991 La déportation et les camps nazis de concentration. 1992 Classes de première et de terminale : le conseil national de la Résistance, sa création, son rôle, son programme pour la France libérée.
Classes de troisième de collège et de LP : les diverses formes de la Résistance dans votre ville, dans votre région.1993 Classes de première et de terminale : pourquoi les résistants ont-ils combattu non seulement contre l’Allemagne nazie puissance occupante, mais aussi contre le gouvernement de " l’Etat français " du Maréchal Pétain ?Classes de troisième de collège et de LP : relatez la vie et les actions d’une personnalité ayant joué un rôle important dans la Résistance intérieure, personnalité choisie soit dans le cadre du département, soit dans le cadre national (Charles de Gaulle, Jean Moulin, Pierre Brossolette, le Général Delestraint...).1994 En 1994, la France célébrera le cinquantième anniversaire de sa libération. Il convient de mesurer les difficultés et les dangers que durent affronter et surmonter les résistants et d’expliquer les raisons pour lesquelles ils s’engagèrent comme volontaires dans ce combat. 1995 Classes de seconde, première et terminale : la libération des camps de concentration et d’extermination nazis par les alliés victorieux en 1945 prouve qu’une certaine idée de l’homme constituait l’enjeu essentiel du conflit. Montrez que la résistance, sous toutes ses formes, étaient porteuse de cette valeur. Ce combat a-t-il encore des résonances aujourd’hui ? Classes de troisième et lycée professionnel : la capitulation de l’Allemagne nazie en 1945 est une victoire pour la dignité de l’homme. En vous appuyant sur des documents et des témoignages des membres de la Résistance et de survivants des camps nazis dégagez l’enseignement qu’on peut en tirer.1996 Classes de seconde, première et terminale : être jeune dans les années noires (1940-1945).Classes de troisième et lycée professionnel : les jeunes dans la Résistance.1997 Classes de tous les lycées et classes de 3e de collège :Les femmes dans la Résistance.1998 Classes de tous les lycées et classes de 3ème de collège :Entre les deux guerres mondiales, la France a largement accueilli des immigrés. Quel rôle ont pu jouer ces étrangers dans la résistance à l’occupant ? Beaucoup d’entre eux sont morts, pour la France, soit au cours d’actions de résistance, soit dans les camps de déportation.1999 Classes de tous les lycées et classes de 3e de collège :" Des plaques, des stèles, des monuments évoquent le souvenir des actions de résistance et la mémoire des victimes des persécutions et des répressions de la période de 1940 à 1945. Recherchez et commentez l’histoire de ces femmes, de ces hommes, de ces enfants ".2000 Classes de tous les lycées et classes de 3e de collège :" L’univers concentrationnaire dans le système nazi. Les camps de concentration et d’extermination font partie intégrante du système totalitaire nazi. Quelles furent les causes, le fonctionnement et les conséquences de ce phénomène concentrationnaire ? ". 2001 Classes de tous les lycées et classes de 3e de collège :" Née de réactions spontanées et éparses, d’engagements divers, la Résistance française a évolué suivant des formes multiples et s’est unifiée autour de valeurs communes afin de libérer le territoire.Suivant les ressources dont vous disposerez localement, vous montrerez comment la France Libre et les Résistants de l’intérieur se sont organisés pour aboutir à la victoire ".
Source : http://www.education.gouv.fr/